Les enjeux économiques de l’éclairage dans le tertiaire

4 000 000 de tonnes de CO2

Ce sont les tonnes de CO2 rejetées inutilement chaque année par les installations d’éclairage dans le tertiaire qui sont obsolètes à 80 %.

5,1 milliards d’euros

C’est ce qui est dépensé inutilement chaque année pour faire fonctionner ces mêmes installations obsolètes.

50 millions

C’est le nombre de tubes fluorescents qui devront être remplacés d’ici à l’année prochaine.

 

Le secteur du bâtiment est le 1er poste de consommation d’énergie en France. Le parc immobilier public absorbe les ¾ de la facture énergétique annuelle française (2 milliards d’euros par an) : 1,5 Md€ par an. Les bâtiments résidentiels et tertiaires représentent 44 % de l’énergie consommée, devant les transports (32 %). 

(Source : IDDRI et Bilan énergétique de la France en 2013 – Conseil Général du Développement Durable)

Après le poste thermique, c’est l’éclairage qui devient un véritable enjeu pour réduire la facture énergétique d’un bâtiment. Or la France est un des pays qui investit le moins dans le matériel d’éclairage, alors que, dans un bâtiment neuf, l’éclairage représente 1 % du budget du bâtiment.

80 % des installations d’éclairage dans le tertiaire sont obsolètes, datant souvent de plus de 20 ans.

Autre fait marquant, plus de 70 % de la consommation d’éclairage intérieur des bâtiments se fait de jour. Or le potentiel d’économies d’énergie atteignable avec des systèmes de gestion (détection de présence, asservissement à la lumière naturelle…) peut aller jusqu’à 70 %.

 

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